« De novembre 2017 à février 2018, j’ai vécu pas mal de choses, mais j’ai gardé ma sérénité devant les événements.
Je suis sorti une fois pour décrier les conditions de préparation de mon équipe. Et j’ai entendu beaucoup de choses : manque de patriotisme, attaque contre l’Etat et la FSBB, entre autres.
Ils ont même parlé de rappel à l’ordre. Je n’ai jamais reçu de lettre de rappel à l’ordre pourtant la presse en a fait ses gros titres ».
Je ne serai jamais un entraîneur soumis
« L’objectif était de qualifier l’équipe à la Coupe du monde. Ce que j’ai réussi en obtenant 10 victoires sur 12. Il y a que la Tunisie, le Nigeria et le Sénégal qui l’ont fait en Afrique. J’ai perçu 18 millions durant toute la période des éliminatoires. Je suis resté 8 mois sans être payé. Je n’ai jamais fait état de ça dans la presse.
De septembre 2018 à février 2019, j’ai continué mon travail sans contrat. Je ne serai jamais un entraîneur soumis et c’est dangereux dans notre métier. J’ai des relations humaines très sincères avec tout le monde.
Il (Me Babacar Ndiaye) disait que mon dossier est difficile car les journalistes sont mes amis. Je suis heureux d’avoir des amis et c’est l’occasion pour moi de remercier Abdoulaye Diaw (journaliste) et Mamadou Koumé. Laye Diaw est une icône du sport et on doit le traiter avec respect ».
Je ne suis pas un « prostitué » du sport, mais un professionnel.
« Je prenais le soin d’appeler tous les joueurs pour prendre de leurs nouvelles. C’est cette relation de confiance que j’avais avec mes joueurs. Je disais au président qu’il fallait des missions de prospection pour voir d’autres joueurs. Je pensais plus à l’Afrobasket 2021 qui selon moi, était l’objectif final.
Les victoires ne se décrètent pas, c’est un long processus. Il faut de la patience, de la rigueur, des conditions de travail et beaucoup de sacrifice.
Il (Me Ndiaye) m’a dit que ce n’était pas possible de faire la tournée à l’étranger. Mais, il peut payer le billet et prendre en charge le voyage, si je revois les choses à la baisse. Je lui ai dit que je ne suis pas un prostitué du sport, mais un professionnel.
Je ne suis pas parti, mais j’ai eu tous les joueurs. J’ai échangé avec eux sur le projet et on a obtenu les résultats que vous savez tous ».
Sport221.Com
Je suis sorti une fois pour décrier les conditions de préparation de mon équipe. Et j’ai entendu beaucoup de choses : manque de patriotisme, attaque contre l’Etat et la FSBB, entre autres.
Ils ont même parlé de rappel à l’ordre. Je n’ai jamais reçu de lettre de rappel à l’ordre pourtant la presse en a fait ses gros titres ».
Je ne serai jamais un entraîneur soumis
« L’objectif était de qualifier l’équipe à la Coupe du monde. Ce que j’ai réussi en obtenant 10 victoires sur 12. Il y a que la Tunisie, le Nigeria et le Sénégal qui l’ont fait en Afrique. J’ai perçu 18 millions durant toute la période des éliminatoires. Je suis resté 8 mois sans être payé. Je n’ai jamais fait état de ça dans la presse.
De septembre 2018 à février 2019, j’ai continué mon travail sans contrat. Je ne serai jamais un entraîneur soumis et c’est dangereux dans notre métier. J’ai des relations humaines très sincères avec tout le monde.
Il (Me Babacar Ndiaye) disait que mon dossier est difficile car les journalistes sont mes amis. Je suis heureux d’avoir des amis et c’est l’occasion pour moi de remercier Abdoulaye Diaw (journaliste) et Mamadou Koumé. Laye Diaw est une icône du sport et on doit le traiter avec respect ».
Je ne suis pas un « prostitué » du sport, mais un professionnel.
« Je prenais le soin d’appeler tous les joueurs pour prendre de leurs nouvelles. C’est cette relation de confiance que j’avais avec mes joueurs. Je disais au président qu’il fallait des missions de prospection pour voir d’autres joueurs. Je pensais plus à l’Afrobasket 2021 qui selon moi, était l’objectif final.
Les victoires ne se décrètent pas, c’est un long processus. Il faut de la patience, de la rigueur, des conditions de travail et beaucoup de sacrifice.
Il (Me Ndiaye) m’a dit que ce n’était pas possible de faire la tournée à l’étranger. Mais, il peut payer le billet et prendre en charge le voyage, si je revois les choses à la baisse. Je lui ai dit que je ne suis pas un prostitué du sport, mais un professionnel.
Je ne suis pas parti, mais j’ai eu tous les joueurs. J’ai échangé avec eux sur le projet et on a obtenu les résultats que vous savez tous ».
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