Il faisait partie des candidats qui ont passé le stage FIBA WABC à Dubaï du 03 au 7 février 2020. Cheikh Sarr a été retenu dans le groupe final.
C’est une nouvelle aventure pour la fin technicienne. Cheikh Sarr vient d’intégrer la liste sélective des 12 coach-instructeur de la Fiba. Une première pour un sénégalais de devenir instructeur Fiba, il exprime ses sentiments au micro de Iradio. « C’est une très grande fierté, un sentiment d’accomplissement de représenter son pays à l’échelle mondiale, parmi les experts de Fiba, au niveau des instructeurs. C’est une grande fierté.C’est un milieu qui demande de l’expertise. En fin de stage, il est retenu 12 instructeurs dans le monde et je fais partie du groupe. »
Alors qu’il ne fait plus partie de l’attelage technique sénégalais depuis la nomination de Moustapha Gaye à la tête de la direction technique nationale. L’ancien coach des lions et lionnes nous explique son nouveau job.
« Je reste entraîneur. Au niveau de la formation, je vais former des instructeurs mais aussi des entraîneurs qui ne seront pas instructeurs. Il y’a beaucoup de stages surtout en Afrique et je passerai peut-être mon temps à organiser ces stages dans la sous-région. C’est une passion qui est là, un amour du jeu et je continuerai toujours à servir mon pays. »
C’est une nouvelle aventure pour la fin technicienne. Cheikh Sarr vient d’intégrer la liste sélective des 12 coach-instructeur de la Fiba. Une première pour un sénégalais de devenir instructeur Fiba, il exprime ses sentiments au micro de Iradio. « C’est une très grande fierté, un sentiment d’accomplissement de représenter son pays à l’échelle mondiale, parmi les experts de Fiba, au niveau des instructeurs. C’est une grande fierté.C’est un milieu qui demande de l’expertise. En fin de stage, il est retenu 12 instructeurs dans le monde et je fais partie du groupe. »
Alors qu’il ne fait plus partie de l’attelage technique sénégalais depuis la nomination de Moustapha Gaye à la tête de la direction technique nationale. L’ancien coach des lions et lionnes nous explique son nouveau job.
« Je reste entraîneur. Au niveau de la formation, je vais former des instructeurs mais aussi des entraîneurs qui ne seront pas instructeurs. Il y’a beaucoup de stages surtout en Afrique et je passerai peut-être mon temps à organiser ces stages dans la sous-région. C’est une passion qui est là, un amour du jeu et je continuerai toujours à servir mon pays. »
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