Le Maroc, l’Egypte, tout comme la Tunisie ont tous perdu leur premier match de phases de poule dans les arrêts de jeu pour ne pas dire temps additionnels.
Cette situation inquiétante semble faire douter certains observateurs et spécialistes qui pensaient qu’enfin les sélections africaines étaient prêtes pour gagner une ‘’Coupe du monde’’.
Force est de reconnaître que le Maroc, l’Egypte ou la Tunisie, qui ont disputé chacun au moins trois Coupes du monde, ne peuvent pas revendiquer un quelconque manque d’expérience pour échapper aux critiques.
Nous pensons cependant que les raisons d’une telle situation peuvent être recherchées dans les aspects comportementaux des joueurs : la fatigue ou le défaut de concentration.
Et, là, nous pensons qu’aujourd’hui avec le football moderne, l’aspect physique est insuffisant pour expliquer, les buts encaissés dans les arrêts de jeu par les équipes africaines dans cette Coupe du monde.
Si les différences entre les cultures stratégiques et tactiques se sont effacées avec la mondialisation du foot, on peut trouver un comportement inné au footballeur quand il porte le maillot de son pays, et corrélativement représentant son continent : le «fighting spirit»
Or la performance générale est en lien avec le talent, les buts dans les dernières minutes semblent liés au comportement.
Alors que des équipes nationales comme l'Italie n'aime pas perdre pendant les dernières minutes, les sélections africaines, en particulier lors de ce mondial, semblent oublier qu’un match c’est 90 minutes plus le temps additionnel.
Sport221.com
Cette situation inquiétante semble faire douter certains observateurs et spécialistes qui pensaient qu’enfin les sélections africaines étaient prêtes pour gagner une ‘’Coupe du monde’’.
Force est de reconnaître que le Maroc, l’Egypte ou la Tunisie, qui ont disputé chacun au moins trois Coupes du monde, ne peuvent pas revendiquer un quelconque manque d’expérience pour échapper aux critiques.
Nous pensons cependant que les raisons d’une telle situation peuvent être recherchées dans les aspects comportementaux des joueurs : la fatigue ou le défaut de concentration.
Et, là, nous pensons qu’aujourd’hui avec le football moderne, l’aspect physique est insuffisant pour expliquer, les buts encaissés dans les arrêts de jeu par les équipes africaines dans cette Coupe du monde.
Si les différences entre les cultures stratégiques et tactiques se sont effacées avec la mondialisation du foot, on peut trouver un comportement inné au footballeur quand il porte le maillot de son pays, et corrélativement représentant son continent : le «fighting spirit»
Or la performance générale est en lien avec le talent, les buts dans les dernières minutes semblent liés au comportement.
Alors que des équipes nationales comme l'Italie n'aime pas perdre pendant les dernières minutes, les sélections africaines, en particulier lors de ce mondial, semblent oublier qu’un match c’est 90 minutes plus le temps additionnel.
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