Le FC Séville s'offre une nouvelle Ligue Europa, la 7e de son histoire ! Au terme d'une finale haletante, le club espagnol s'est imposé contre l'AS Rome aux tirs au but (1-1, 4-1 tab).
Dans la pure tradition du football de José Mourinho, la Roma a su se montrer solide et patiente avant de faire la différence grâce à son jeu direct en première période. Car les Sévillans ont eu la possession durant les 45 premières minutes, mais les hommes de José Luis Mendilibar ont buté sur une défense romaine concentrée et intelligente, sans jamais réussir à inquiéter Rui Patricio dans le but adverse jusqu'à la frappe de Rakitic sur le poteau dans le temps additionnel.
A l'inverse, la Roma n'a pas eu besoin du ballon pour se montrer dangereuse. Et si Bounou a sauvé son équipe à l'approche du quart d'heure de jeu en repoussant une frappe de Spinazzola dans la surface, le gardien sévillan a dû s'incliner sur la frappe croisée du gauche de Dybala (0-1, 35e). Le cinquième but en 11 matchs de C3 cette saison pour l'Argentin qui était encore annoncé incertain pour cette partie jusqu'à la sortie de la composition des deux équipes.
Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre a totalement changé puisque Séville est revenu sur la pelouse avec de bien meilleures intentions. Les Sévillans se montraient bien plus inspirés dans le jeu et mettaient sous pression des Romains privés de ballon et moins sereins qu'en première période. Et à force de pousser, la formation andalouse faisait craquer son adversaire en égalisant sur un but contre son camp de Mancini (1-1, 55e). Dominée mais toujours dangereuse, la Roma aurait tout de même pu reprendre l'avantage dans cette finale sans deux arrêts exceptionnels de Bounou devant Abraham et Belotti.
Le gardien de Séville permettait aux siens d'aller en prolongation. Trente minutes supplémentaires très tendues durant lesquelles les deux équipes n'ont pas réussi à se départager, malgré une barre transversale trouvée par Smalling dans les dernières minutes. Il fallait donc en passer par la séance des tirs au but. Et à ce petit jeu, Séville l'a emporté grâce à deux interventions décisives de Bounou devant Mancini et Ibanez !
Maxifoot
Dans la pure tradition du football de José Mourinho, la Roma a su se montrer solide et patiente avant de faire la différence grâce à son jeu direct en première période. Car les Sévillans ont eu la possession durant les 45 premières minutes, mais les hommes de José Luis Mendilibar ont buté sur une défense romaine concentrée et intelligente, sans jamais réussir à inquiéter Rui Patricio dans le but adverse jusqu'à la frappe de Rakitic sur le poteau dans le temps additionnel.
A l'inverse, la Roma n'a pas eu besoin du ballon pour se montrer dangereuse. Et si Bounou a sauvé son équipe à l'approche du quart d'heure de jeu en repoussant une frappe de Spinazzola dans la surface, le gardien sévillan a dû s'incliner sur la frappe croisée du gauche de Dybala (0-1, 35e). Le cinquième but en 11 matchs de C3 cette saison pour l'Argentin qui était encore annoncé incertain pour cette partie jusqu'à la sortie de la composition des deux équipes.
Au retour des vestiaires, la physionomie de la rencontre a totalement changé puisque Séville est revenu sur la pelouse avec de bien meilleures intentions. Les Sévillans se montraient bien plus inspirés dans le jeu et mettaient sous pression des Romains privés de ballon et moins sereins qu'en première période. Et à force de pousser, la formation andalouse faisait craquer son adversaire en égalisant sur un but contre son camp de Mancini (1-1, 55e). Dominée mais toujours dangereuse, la Roma aurait tout de même pu reprendre l'avantage dans cette finale sans deux arrêts exceptionnels de Bounou devant Abraham et Belotti.
Le gardien de Séville permettait aux siens d'aller en prolongation. Trente minutes supplémentaires très tendues durant lesquelles les deux équipes n'ont pas réussi à se départager, malgré une barre transversale trouvée par Smalling dans les dernières minutes. Il fallait donc en passer par la séance des tirs au but. Et à ce petit jeu, Séville l'a emporté grâce à deux interventions décisives de Bounou devant Mancini et Ibanez !
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