Actuellement à Bursaspor depuis l’été 2018, Diafra Sakho est revenu sur son parcours de footballeur lors d’un récent entretien accordé à la chaîne de son club Bursaspor TV.
Diafra Sakho n’est pas en train de vivre sa meilleure saison depuis qu’il est devenu footballeur professionnel. Auteur de 2 buts en 11 matchs cette saison avec Bursaspor, Diafra a refait le fil de son parcours de joueur de football. « Etant enfant, je jouais dans les rues comme tout jeune africain. J’ai commencé à croire à une carrière de footballeur, lorsque j’avais 16 ans. C’est après que j’ai rejoint la Génération Foot avant de rejoindre le FC Metz en 2009, à l’âge de 17 ans 18 ans… », raconte l’ancien joueur de West Ham.
« Quand je suis arrivé à Metz c’était compliqué parce que, c’était difficile d’avoir le registre du haut niveau. Bien que je me suis adapté par la suite, les dirigeants messins ont un peu douté de mon niveau. Mais lorsque j’ai réussi à finir meilleur buteur quand je me suis bien intégré qu’ils ont compris que j’avais vraiment du talent. », confie Diafra. « Mon problème c’est que j’ai mis du temps à m’adapter avec le froid, parce que je suis arrivé en France en période d’hiver. », poursuit-il.
De son passage à West Ham, Diafra retient surtout son premier face-à-face avec Sam Allardyce. « Lorsque je devais signer chez les Hammers, le coach Sam Allardyce m’a posé une question : Diafra, jusqu’ici tu n’as joué qu’en deuxième division française, alors d’après toi, que peux-tu apporter au club ? Et je lui ai répondu par une question : qui est votre meilleur buteur actuellement, il m’a répondu Kevin Nolan qui avait 8 buts et je lui ai dit que si je jouais la moitié des matchs, je t’en mets 12 buts. Et au finish, j’ai joué 22 matchs et j’ai marqué 12 buts.
L’attaquant de Bursaspor révèle que durant ses premiers pas dans le football, son père ne voulait pas qu’il fasse carrière dans le football. « Si j’en suis ici aujourd’hui, c’est aussi grâce à ma mère. Elle m’a toujours encouragé et acheté des ballons pour que je joue. Et j’ai très tôt choisi le football. Et bien que mon père ne voulait pas que je joue au foot, prétextant que le fils d’un routier doit être un routier. Mais ma seule ambition étant jeune, c’était de lui prouver qu’il avait tort et de construire une maison à ma maman. Parce qu’on a toujours vécu chez un oncle jusqu’à ce que je perçoive mon premier salaire pro », révèle le natif de Guédiawaye.
Aujourd’hui en Turquie, Diafra Sakho ambitionne de faire bonne figure à Bursaspor pour lui et le public aussi, qui dit-il, représente beaucoup pour la force d’un joueur.
Bursaspor TV
Diafra Sakho n’est pas en train de vivre sa meilleure saison depuis qu’il est devenu footballeur professionnel. Auteur de 2 buts en 11 matchs cette saison avec Bursaspor, Diafra a refait le fil de son parcours de joueur de football. « Etant enfant, je jouais dans les rues comme tout jeune africain. J’ai commencé à croire à une carrière de footballeur, lorsque j’avais 16 ans. C’est après que j’ai rejoint la Génération Foot avant de rejoindre le FC Metz en 2009, à l’âge de 17 ans 18 ans… », raconte l’ancien joueur de West Ham.
« Quand je suis arrivé à Metz c’était compliqué parce que, c’était difficile d’avoir le registre du haut niveau. Bien que je me suis adapté par la suite, les dirigeants messins ont un peu douté de mon niveau. Mais lorsque j’ai réussi à finir meilleur buteur quand je me suis bien intégré qu’ils ont compris que j’avais vraiment du talent. », confie Diafra. « Mon problème c’est que j’ai mis du temps à m’adapter avec le froid, parce que je suis arrivé en France en période d’hiver. », poursuit-il.
De son passage à West Ham, Diafra retient surtout son premier face-à-face avec Sam Allardyce. « Lorsque je devais signer chez les Hammers, le coach Sam Allardyce m’a posé une question : Diafra, jusqu’ici tu n’as joué qu’en deuxième division française, alors d’après toi, que peux-tu apporter au club ? Et je lui ai répondu par une question : qui est votre meilleur buteur actuellement, il m’a répondu Kevin Nolan qui avait 8 buts et je lui ai dit que si je jouais la moitié des matchs, je t’en mets 12 buts. Et au finish, j’ai joué 22 matchs et j’ai marqué 12 buts.
L’attaquant de Bursaspor révèle que durant ses premiers pas dans le football, son père ne voulait pas qu’il fasse carrière dans le football. « Si j’en suis ici aujourd’hui, c’est aussi grâce à ma mère. Elle m’a toujours encouragé et acheté des ballons pour que je joue. Et j’ai très tôt choisi le football. Et bien que mon père ne voulait pas que je joue au foot, prétextant que le fils d’un routier doit être un routier. Mais ma seule ambition étant jeune, c’était de lui prouver qu’il avait tort et de construire une maison à ma maman. Parce qu’on a toujours vécu chez un oncle jusqu’à ce que je perçoive mon premier salaire pro », révèle le natif de Guédiawaye.
Aujourd’hui en Turquie, Diafra Sakho ambitionne de faire bonne figure à Bursaspor pour lui et le public aussi, qui dit-il, représente beaucoup pour la force d’un joueur.
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