
Le monde de la lutte sénégalaise s’apprête à vivre un tournant majeur. Le passage du Comité national de gestion (CNG) à une Fédération sénégalaise de lutte sera officiellement acté le 8 novembre 2025, à l’issue d’un long processus de réforme initié par le ministère des Sports.
Confié au président du CNG, Pierre Malick Ngom, et à son équipe, ce chantier de transformation repose sur un calendrier bien défini, en application de l’arrêté n°027698 du 31 octobre 2024, qui prolongeait le mandat du CNG et désignait ses nouveaux membres.
Une transition en plusieurs étapes
La phase préparatoire débute le 3 juillet 2025 avec la publication d’une liste provisoire des écuries et associations reconnues. Un délai de recours sera accordé du 4 au 11 juillet, avant la diffusion de la liste définitive prévue le 14 juillet. Ce même jour, les acteurs recevront les projets de statuts et de règlement intérieur pour recueillir leurs observations. Ces retours devront être transmis au plus tard le 3 septembre.
Le 6 août, un comité ad hoc sera mis en place pour piloter le processus électoral. Suivront l’installation des districts (du 7 au 21 août), puis celle des ligues (du 22 août au 2 septembre). Une réunion est prévue le 6 septembre pour définir le corps électoral et les critères d’éligibilité.
La liste provisoire des électeurs sera publiée le 10 septembre, avec une période de recours ouverte jusqu’au 20 septembre. La liste définitive sera rendue publique le 6 octobre. La période de dépôt des candidatures à la présidence de la future fédération s’étendra du 7 au 15 octobre, suivie de la publication de la liste provisoire des candidats le 16 octobre. Les recours éventuels pourront être formulés du 17 au 25 octobre.
Une volonté portée par les acteurs du milieu
Ce basculement vers une fédération n’est pas une décision imposée par les autorités, mais une revendication portée par les acteurs eux-mêmes, notamment lors des assises nationales de la lutte.
« Les autorités n’ont fait que traduire cette volonté. Passer à une fédération, c’est entrer dans un cadre légal avec des statuts, un règlement intérieur, des électeurs et des candidats », a rappelé Gilbert Mbengue, directeur des Activités physiques et sportives, lors d’une rencontre avec le ministère et le CNG.
Le projet, finalisé et prêt, attend désormais la validation des parties concernées. Si le calendrier est respecté, la lutte sénégalaise s’engagera, à partir de novembre 2025, dans une nouvelle phase de son développement, sous la houlette d’une fédération autonome et élue.
Confié au président du CNG, Pierre Malick Ngom, et à son équipe, ce chantier de transformation repose sur un calendrier bien défini, en application de l’arrêté n°027698 du 31 octobre 2024, qui prolongeait le mandat du CNG et désignait ses nouveaux membres.
Une transition en plusieurs étapes
La phase préparatoire débute le 3 juillet 2025 avec la publication d’une liste provisoire des écuries et associations reconnues. Un délai de recours sera accordé du 4 au 11 juillet, avant la diffusion de la liste définitive prévue le 14 juillet. Ce même jour, les acteurs recevront les projets de statuts et de règlement intérieur pour recueillir leurs observations. Ces retours devront être transmis au plus tard le 3 septembre.
Le 6 août, un comité ad hoc sera mis en place pour piloter le processus électoral. Suivront l’installation des districts (du 7 au 21 août), puis celle des ligues (du 22 août au 2 septembre). Une réunion est prévue le 6 septembre pour définir le corps électoral et les critères d’éligibilité.
La liste provisoire des électeurs sera publiée le 10 septembre, avec une période de recours ouverte jusqu’au 20 septembre. La liste définitive sera rendue publique le 6 octobre. La période de dépôt des candidatures à la présidence de la future fédération s’étendra du 7 au 15 octobre, suivie de la publication de la liste provisoire des candidats le 16 octobre. Les recours éventuels pourront être formulés du 17 au 25 octobre.
Une volonté portée par les acteurs du milieu
Ce basculement vers une fédération n’est pas une décision imposée par les autorités, mais une revendication portée par les acteurs eux-mêmes, notamment lors des assises nationales de la lutte.
« Les autorités n’ont fait que traduire cette volonté. Passer à une fédération, c’est entrer dans un cadre légal avec des statuts, un règlement intérieur, des électeurs et des candidats », a rappelé Gilbert Mbengue, directeur des Activités physiques et sportives, lors d’une rencontre avec le ministère et le CNG.
Le projet, finalisé et prêt, attend désormais la validation des parties concernées. Si le calendrier est respecté, la lutte sénégalaise s’engagera, à partir de novembre 2025, dans une nouvelle phase de son développement, sous la houlette d’une fédération autonome et élue.