Samba Diop, mort par crise cardiaque : sa mère réfute cette thèse et fait des confessions troublantes

Mort le 7 avril 2018, Samba Diop, ce jeune joueur de 18 ans et qui évoluait avec la réserve du Havre s’apprêtait pourtant à signer un contrat pour devenir professionnel au HAC. Mais avant de franchir cette étape, Samba est décédé à la suite d’une crise cardiaque. Une thèse que sa mère réfute pour l’instant et attend la décision de la justice pour en avoir le cœur net. L’enquête menée par le SRPJ de Rouen.

« Depuis un an, on attend les résultats de l’enquête. Ça fait un an qu’on entend tout et n’importe quoi », a déclaré Arame Diop, mère Samba.

Arame Diop réfute la mort par crise cardiaque de son fils. « Non, mon fils n’avait pas de problème cardiaque ou de maladie contagieuse. Il était inscrit sur la feuille de match pour jouer la rencontre du 7 avril. Ça veut bien dire qu’il était bien portant, non ? En mars 2018, Samba a eu une mononucléose diagnostiquée à l’hôpital. Après deux jours de repos, il n’avait plus rien. Le médecin du club l’a autorisé fin mars à reprendre les entraînements. Il a repris tout doucement jusqu’au 6 avril. Il a fait son entraînement avec les pros, la semaine, et avec la National 2, le vendredi. », a révélé la maman du jeune joueur décédé à l’âge de 18 ans. 

En poursuivant, elle précise que « Non, mon fils, n’a pas fait de malaise la veille de sa mort » et « il n’est pas mort dans son sommeil, mais le 7 avril au matin à l’hôpital ».

Le gamin souffrait d’une douleur mais cela ne le gênait pas, a indiqué sa mère qui poursuit : « Le kiné du club lui avait conseillé d’aller voir le médecin pour sa gêne à la hanche. C’est une petite gêne qu’il avait depuis très longtemps, il vivait très bien avec. Ce n’était pas douloureux. Après l’entraînement, le 6 avril, Samba a voulu prendre un appareil, des sortes d’électrodes pour cette gêne, comme il fait d’habitude. À ce moment-là, le kiné lui a répété d’aller voir le médecin, et il l’a accompagné jusqu’à lui. Alors que Samba n’avait rien demandé sinon il m’en aurait parlé. Le médecin lui a alors injecté un produit. C’est ce que mon fils m’a raconté ».

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